J'ai participé aujourd'hui à la conférence conjointe des Maires sur l'impact au niveau local de la mobilité des citoyens européens. Cette conférence a été co-organisée par le Comité des Régions et la Commission européenne.
Vous pouvez retrouvez les éléments relatifs à cette réunion, en cliquant sur le lien ci-après:
Programme - conférence des maires sur l'impact de la mobilité à l'échelle locale
Dans mon intervention, j'ai partagé l'expérience de Lille, retenue parmi cinq autres villes européennes (Hambourg, Prague, Dublin, Barcelone et Turin) dans l'étude réalisée par la Commission européenne.
Sur la base de l'expérience transfrontalière de la ville de Lille, j'ai rappelé l'importance du principe de libre circulation pour le de développement des villes frontalières.
Lorsqu'il s'agit de questions de liberté de circulation souvent gérées d' Etat à Etat de manière très centralisée, les villes notamment frontalières peuvent défendre le principe d' ouverture tant notre développement économique est lié à l'abolition des frontières et à l'augmentation des échanges avec les pays voisins.
A titre d'exemple de cette ouverture des territoires frontaliers, j'ai rappelé par exemple que ce sont les cantons suisses frontaliers du Jura, de Genève et de Vaud qui ont à plus de 55% voté dimanche dernier contre la votation réclamant la fin de l’immigration dite massive venue d’autres pays Européens et en particulier de pays voisins.
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