90 Nordistes en contrats aidés dans une ferme d'insertion qui reprennent pied dans l'emploi et de jeunes chercheurs en génie civil qui créeront les conditions d'une reprise de l'industrie sur notre territoire... Voilà deux beaux exemples, très concrets, de l'usage des fonds européens que je suis aller saluer hier dans le Douaisis à la ferme des Vanneaux de Roost-Warendin, un établissement géré par la Sauvegarde, et à l'Ecole des Mines de Douai. Au-delà du plaisir des rencontres humaines, cela m'a permis, aux côtés des élus du territoire - le sénateur-maire d'Orchies Dominique Bailly et Frédéric Chéreau, conseiller régional et Maire de Douai- de faire le point sur les difficultés et les opportunités que peuvent rencontrer les cadres de La Sauvegarde et la Direction de l'Ecole des Mines dans leurs recherches de financements. Le Fonds social européen qui finance déjà à hauteur de 800.000 euros la Ferme des Vanneaux, est indispensable à l'équilibre financier de la structure, mais la garantie jeunesse, mise en place par l'Europe, doit pouvoir permettre d'imaginer de nouvelles actions, toujours au service de l.insertion sociale. Il est indispensable que l'Ecole des Mines de Douai, qui vient de remporter le prix du développement durable pour son campus très respectueux de l'environnement, puisse développer ses activités de recherche parce que ses innovations techniques sont une des clefs de la transition énergétique. Là-encore, les fonds européens sont au rendez-vous.
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