Du 14 au 18 mars 2013, je me suis rendu au Mali et au Niger avec Harlem Désir, Premier secrétaire du Parti Socialiste où nous avons rencontré un important nombre de personnalités politiques et associatives, notamment :
- Dioncounda Traore, Président de la République du Mali
- Mahamadou Issoufou, Président du Niger
- Diango CISSOKO, Premier ministre du Mali
- Ibrahima NDiaye, Président du parti Adema PASJ
- Younoussi Touré, Président de l’Assemblée nationale du Mali
- Osmane Tanor Dieng, Présidentdu PS sénégalais
- Ibrahim Boubacar Keita, Président du Rassemblement pour le Mali
- Les ambassadeurs français au Mali et au Niger
- Les camarades de la section socialiste de Bamako
- l’ONG éducative du centre Jigiya Bon et l'ONG Santé Sud
En plus de toutes ces rencontres politiques, nous avons participé à une réunion du comité Afrique de l'Internationale Socialiste à Niamey.
L'ambition de ce déplacement, outre témoigner la solidarité des socialistes français avec les peuples maliens et nigériens, est de travailler ensemble à la construction de l'après-guerre au Mali. La construction démocratique, le développement économique et humain, la réconciliation du Nord et du Sud Mali doivent prendre le relais des actions armées pour solidifier cette liberté que la France a réussie à ramener au Mali. La première étape pour Bamako sera de retrouver une forte légitimité politique en organisant des élections législatives transparentes. Ces élections générales devraient se tenir au mois de juillet.
Très reconnaissant de l'action française dans son pays, le Président Traore a tout a fait acquiescé les propos de Harlem Désir lorsqu'il a affirmé qu'avec un autre Président que François Hollande, la France ne serait pas intervenue au Mali.
La réunion de l'Internationale Socialiste à Niamey, nous a permis d'insister avec Harlem Désir sur l'après-guerre au Mali et la nécessité d'un nouveau type de coopération entre le Nord et le Sud.
Le rapport indique que de nombreux couloirs qui parsèment la frontière du Bangladesh Inde dans le Meghalaya, Assam et du Bengale occidental sont activées avant l'Aïd el Adha. Juste en face de la frontière dans le pays voisin, on peut voir boucheries alignés les uns après les autres. Selon une source, une paire de vaches Haryana pourrait rapporter quelque chose entre Rs 3000 et Rs 4000. l'offre intérieure au Bangladesh n'est pas suffisante pour répondre à la demande du festival et donc la contrebande, le rapport cite une source.
Rédigé par : laboutin | mardi 03 décembre 2013 à 09:52