Parce qu'il ne faut pas se décourager, mais au contraire redoubler nos efforts sur la question du réchauffement climatique après la déception de Copenhague, je présentais vendredi dernier une conférence sur la question devant des étudiants, à l'invitation de l'IESEG dans le cadre de sa semaine de l'international consacrée cette année à "L'écologie et l'Europe".
Le climat est un « bien public mondial » dont nous sommes tous co-responsables. C'est, en substance, le message que j'ai délivré aux étudiants lillois.
J'ai également évoqué ce que l'Europe a déjà permis de faire avancer en matière de développement durable et d'environnement, comme notamment, la directive Reach consacrée à l'enregistrement, l'évaluation, l'autorisation et la restriction des produits chimiques dans l'Union européenne. J'en suis convaincu, le changement climatique n'est pas inévitable.
En adoptant les bonnes mesures politiques, en procédant aux investissements publics et privés nécessaires dans les énergies renouvelables et dans l'efficacité énergétique et avec la volonté de toutes les parties prenantes de changer radicalement nos modes de production et de consommation, nous pouvons éviter les pires effets du changement climatique. La combativité ne doit pas laisser place au découragement. Qui veut peut.
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